Marketing digital: Quelques informations utiles2017-11-22T18:00:09+01:00

Marketing digital, quelques informations utiles…

FAQ régulièrement mises à jour pour vous renseigner sur les évolutions du marketing digital en Suisse et dans le monde.  Ce contenu que nous rédigeons peut être aussi des synthèses ou des reprises de sources externes que nous jugeons fiables et pertinentes.

Pour obtenir de plus amples informations sur vos opportunités digitales, visitez aussi ce lien ou prenez contact avec notre agence

Landing page: la solution de conversion2018-01-09T14:18:11+01:00

De nos jours, il ne suffit malheureusement plus d’optimiser son site Internet pour le référencement. Il est maintenant indispensable d’avoir des landing pages qui convertissent pour gagner en rentabilité. C’est d’ailleurs la vocation première des sites eCommerces et des sites de génération de prospects.

Quel est alors le mode d’emploi pour faire de vos landing pages, des pages qui convertissent ? Prenons exemple sur VividBoard, une entreprise qui a pu augmenter les taux de conversion sur ses landing pages de 2 % à 27 %, une remontée considérable…

Quel est le rôle d’une landing page ?

Pour faire simple, la landing page, ou page de destination est une page sur laquelle les Internautes, plus ou moins ciblés, arrivent suite à un clic sur un lien, une bannière de publicité, un bouton, etc. Elle est conçue exclusivement pour transformer ses visiteurs en les poussant à faire une action précise : contacter, acheter, etc. L’optimiser est donc très important. Cela nécessite forcément un investissement, mais vous aurez un excellent retour.

Comment imiter VividBoard ?

Avant l’optimisation, les pages du site de VividBoard étaient juste des pages Web standards. Pour augmenter les conversions de près de 1250 %, ils ont tout simplement conçu des landing pages en se basant sur 4 principes fondamentaux. Voyons lesquels :

1. Se concentrer sur une action unique

Quand les visiteurs atterrissent sur votre page, ce qu’ils voient doit leur donner envie d’exécuter l’action à laquelle vous l’invitez (s’abonner à la newsletter, vous contacter, acheter un produit, etc). Votre page doit être conçue exclusivement en fonction de votre objectif de conversion.

2. Des éléments visuels qui attirent l’œil

Les Internautes utilisent principalement leur vue sur le Web, autant donc séduire d’emblée celle-ci ! Incluez sur votre page des éléments qui appellent à l’action, tels que des images, des textes courts en gros caractère, des animations, etc. Jouez également sur les vides entre les éléments, cela met en valeur ces derniers. En d’autres termes, guidez les yeux des visiteurs !

3. Ne pas demander trop d’informations

Ne demandez pas aux visiteurs plus d’informations qu’ils ne souhaitent réellement donner. Limitez-vous aux renseignements dont vous avez vraiment besoin. Généralement, un nom et une adresse eMail du client potentiel suffisent.

4. Ne pas se focaliser sur soi

Votre page ne doit pas faire l’éloge de votre entreprise ou de votre produit. Cela ne crédibilise pas votre message pour autant. Orientez plutôt votre contenu vers le client pour le séduire.
Quelle est la structure idéale d’une landing page ?

Maintenant que vous connaissez les 4 astuces qui permettent d’accroitre le taux de conversion sur une landing page, voyons encore la structure idéale :

  1. Un titre et un sous-titre
  2. Une brève description de ce que vous offrez
  3. Une ou plusieurs images
  4. Des témoignages réels, logos des clients,ou des badges de sécurité
  5. Un bouton CTA (call-to-action ou appel à l’action)

Vous avez maintenant tous les éléments en main pour augmenter le taux de conversion de votre site Internet.

Le Coût Par Clic et le taux de conversion moyen de votre publicité sur Facebook2018-01-09T14:12:20+01:00

Ce sont les questions qui reviennent le plus souvent lorsqu’on parle des Facebook Ads : Quel est le coût par clic (CPC) moyen d’une publicité Facebook ? Et quel est le taux de conversion moyen ? Questions bien légitimes, surtout lorsqu’on débute avec les publicités sur Facebook pour évaluer ses performances en comparaison à la moyenne globale.

La bonne nouvelle est qu’une étude réalisée par Wordstream à grande échelle nous renseigne sur ces principaux éléments. Sachant que chaque industrie possède des indicateurs potentiellement différents selon le degré de concurrence, l’étude indique un moyenne globale, ainsi qu’une moyenne par secteur industriel.

À noter que les chiffres ont été mesurés sur le marché américain, mais permet néanmoins de se faire une idée un peu plus clair de ces différentes tendances.

Voici les résultats de cette étude :

Coût par clic (CPC) moyen sur les Facebook Ads : $1.72

Lorsqu’on s’intéresse aux CPC moyens par secteur d’activité, on voit que le secteur de la finance et des assurances est celui le plus élevé, avec une moyenne de $3.77. Le domaine des voyages, étonnamment, fait partie des secteurs les moins coûteux.

CPC moyen Facebook Ads

Taux de conversion moyen sur les Facebook Ads : 9.21%

Les taux de conversions moyens des publicités Facebook sont très élevés selon cette étude, ce qui montre l’intérêt pour ce type de communication. Evidemment, il faut pour cela mettre en place une stratégie judicieuse et optimiser ses publicités. Le secteur présentant les taux de conversions les plus élevés est le Fitness avec plus de 14%. Le secteur de la Technologie est plus difficile d’accès avec un taux de conversion de 2,31%.

Taux de conversion moyen Facebook Ads

Source: pme-web.com

Chiffres réseaux sociaux en 20172018-01-09T14:12:57+01:00

Il est toujours intéressant de disposer de chiffres en rapport avec les réseaux sociaux. Fréquentation, nombre de membres, utilisateurs actifs, activité sur le site et les applications mobiles… Sur le web, de nombreuses statistiques circulent mais certaines sont obsolètes. Afin d’être sûr de disposer des derniers chiffres disponibles, nous mettons régulièrement à jour cette page, rassemblant les principaux chiffres des réseaux sociaux en 2017, en France et dans le monde. Ils sont classés par réseau social et la source des statistiques utilisées est toujours indiquée. Facebook, Twitter et Google Plus sont les principaux médias sociaux représentés, mais nous rassemblons également les derniers chiffres disponibles pour d’autres plateformes, comme YouTube, Instagram, Pinterest, LinkedIn ou Viadeo.

→ Consultez également : les statistiques de l’Internet en 2017.

Les chiffres clés des réseaux sociaux

  • Sur les 7,5 milliards d’habitants, 3,81 milliards sont internautes (51%) et 2,91 milliards sont actifs sur les réseaux sociaux (39% de la population mondiale).
  • Temps passé sur les réseaux sociaux : 1h20 par jour en France.

Source : We Are Social Singapore

Le top 10 des réseaux sociaux dans le monde

  • Facebook : 2 milliard
  • Instagram : 700 millions
  • Qzone : 653 millions
  • Tumblr : 555 millions
  • Twitter : 330 millions
  • Baidu Tieba : 300 millions
  • Sina Weibo : 222 millions
  • Snapchat : 166 millions (par jour)
  • Pinterest : 150 millions
  • LinkedIn : 106 millions

Plus d’infos : Chiffres Facebook / Twitter / Google / Instagram / Pinterest

Pénétration des réseaux sociaux dans le monde

  • Pénétration des réseaux sociaux dans le monde :
    • 66% en Amérique du Nord
    • 54% en Europe de l’Ouest (56% en France)
    • 14% en Afrique
    • 15% en Asie du Sud

→ Consultez l’utilisation d’Internet et des réseaux sociaux

La répartition démographique sur les réseaux sociaux

Cette étude comScore présente la démographie des réseaux sociaux.

reseaux-sociaux-age

Facebook

Les principaux chiffres concernant Facebook sont les suivants :

  • Date de lancement : 4 février 2004 (bêta)
  • Ouverture au public : 26 septembre 2006
  • Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 2 milliards (33 millions en France).
  • Utilisateurs actifs quotidiens (DAU) : 1,28 milliard (26 millions en France).
  • Chiffre d’affaires en 2016 : 27,64 milliards de dollars
  • Bénéfice en 2016 : 10,2 milliards de dollars

→ Consultez l’intégralité des statistiques pour Facebook en 2017.

Twitter

Les principaux chiffres concernant Twitter sont les suivants :

  • Date de lancement : 21 mars 2006
  • Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 330 millions
  • 500 millions de tweets envoyés chaque jour
  • 320 nouveaux comptes créés chaque minute
  • Utilisateur le plus suivi : Katy Perry, avec plus de 94 millions de followers.
  • Tweet le plus retweeté : plus de 3,6 millions de RT (Carter Wilkerson)

→ Consultez l’intégralité des statistiques pour Twitter en 2017.

Instagram

  • Nombre de membres : 700 millions
  • Nombre d’utilisateurs d’Instagram Direct : 85 millions
  • 80% d’utilisateurs en dehors des États-Unis (65% en mars 2014)
  • 30 milliards de photos partagées (20 milliards en mars 2014)
  • 2,5 milliards de « J’aime » chaque jour (1,6 milliards par jour en mars 2014)
  • 70 millions de photos partagées chaque jour (60 millions en mars 2014)
  • Un utilisateur suit en moyenne 134 personnes
  • 46% des utilisateurs suivent des marques
  • 70% des membres français se connectent à Instagram tous les jours

→ Consultez l’intégralité des statistiques sur Instagram.

Snapchat

  • Nombre d’utilisateurs actifs par jour (DAU) : 166 millions
  • Nombre d’utilisateurs actifs par jour en France : 8 millions
  • Nombre d’utilisateurs actifs par mois en France : 9,6 millions
  • Répartition H/F : 35% d’hommes, 65% de femmes
  • Âge : 71% des utilisateurs ont moins de 25 ans

→ Consultez l’intégralité des chiffres Snapchat en 2017

Pinterest

  • Nombre de membres : 150 millions
  • 85% des usagers sont des femmes
  • 30% des utilisateurs ont entre 25 et 34 ans
  • Temps passé sur le réseau : 16 minutes par mois

→ Plus d’infos : 150 millions d’utilisateurs sur Pinterestles 50 chiffres des médias sociaux et le panorama des réseaux sociaux en France et dans le monde.

LinkedIn

  • Lancement de LinkedIn : 5 mai 2003
  • Nombre de membres inscrits : 500 millions (avril 2017)
  • Nombre de membres en France : 14 millions
  • Nombre de membres actifs mensuels : 115 millions (23%)
  • Utilisateurs actifs quotidiens : 35% des membres actifs, selon LinkedIn
  • Localisation : 34% des membres sont situés aux États-Unis
  • Croissance : 2 nouveaux membres rejoignent LinkedIn chaque seconde
  • Temps passé sur le réseau : 17 minutes par mois
  • Démographie : 79% des membres ont plus de 34 ans
  • Âge moyen des membres : 44 ans
  • Nombre de groupes : 1,5 million
  • Mobilité : 27% des visites sont effectuées via mobile
  • Acquisition de Slideshare : 119 millions de dollars
  • Nombre de membres Slideshare : 5 millions

→ Plus d’infos : les derniers chiffres LinkedIn.

YouTube

  • Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 1,5 milliard
  • Nombre de vues par jour : 4 milliards, dont 25% via mobile
  • Nombre d’utilisateurs en France par jour (desktop) : 4,054 millions
  • Nombre d’utilisateurs en France par mois (desktop) : 23,397 millions
  • Nombre d’utilisateurs en France par mois (mobile) : 25,7 millions

→ Consultez l’intégralité des statistiques pour YouTube en 2017.

Tumblr

  • Lancement de Tumblr : 2007
  • Utilisateurs actifs mensuels : 100 millions
  • Nombre de blogs sur la plateforme : 111,7 millions
  • Nombre de publications : 51,7 milliards depuis le lancement
  • Nombre de publications quotidiennes : 75,8 millions
  • Statistiques de visite : 185,6 millions de visiteurs uniques mensuels

→ Consultez l’intégralité des statistiques sur Tumblr.

Google+

Les principaux chiffres concernant Google Plus sont les suivants (ils sont anciens) :

  • Date de lancement : 28 juin 2011 (bêta)
  • Ouverture au public : 20 septembre 2011
  • Membres inscrits : 500 millions
  • Utilisateurs actifs (au sens large) : 540 millions
  • Utilisateurs actifs (au sens strict) : 359 millions
  • Temps passé sur le réseau : 6 minutes et 47 secondes par mois.

→ Consultez l’intégralité des statistiques pour Google+.

 

Source: blog du modérateur 11 juillet 2017

Inbound marketing2017-02-19T12:55:20+01:00

avenir-inbound-marketing

Inbound Marketing : Cette nouvelle stratégie est apparue suite à un constat : Les formes classiques de marketing sont de moins en moins opérantes pour 3 raisons majeures :

1. La surabondance de médias surcharge le consommateur d’informations marketing. Les contenus diffusés augmentent de jour en jour et on navigue au travers d’une infobésité omniprésente.

2. D’autre part, le consommateur s’est accoutumé à la publicité et il y est devenu de moins en moins sensible, tout au moins sur les effets qu’elle devrait produire.

3. Enfin, l’apparition de nouvelles technologies permet la limitation voire le blocage de tout message jugé intrusif.

Le principe de cette stratégie marketing est tout simplement d’amener le client à soi, plutôt que d’employer tous les moyens pour le faire venir.

L’ inbound marketing consiste à amener le client vers soi, plutôt que d’aller le chercher !

Il s’agit d’une rupture profonde avec les formes de marketing dites « traditionnelles ». L’objectif pour l’entreprise qui recourt à cette technique, est de devenir son propre média et de transformer son audience en clientèle.

Ceci passe par la production de contenus attractifs, afin de figurer en bonne place sur les moteurs de recherche et de s’assurer une présence significative sur les réseaux sociaux.

 

La stratégie inbound marketing expliquée

Tout différencie cette technique des autres stratégies, car il ne s’agit pas ici d’acheter le client au moyen de la publicité ou encore du référencement payant. Il est ici question de client « acquis ».

De même, cette dernière intègre l’ensemble du processus de marketing-vente, de la prise de contact avec le consommateur jusqu’à l’achat proprement dit.

Le mécanisme de l’inbound marketing s’articule autour de 4 grandes étapes

1. Être son propre média et se constituer une audience

La première étape est décisive puisqu’elle consiste à attirer le futur client, grâce à la production de contenus intéressants.

En devenant son propre média et en recourant à tous les outils de communication permis par Internet (réseaux sociaux, newsletter, blogs, etc …), une entreprise peut se créer une solide audience.

2. Convertir le visiteur en prospect

Une fois la première étape réalisée, la seconde consiste à transformer les visiteurs en prospects qualifiés.

Pour cela, il est indispensable d’obtenir un maximum d’informations les concernant afin de pouvoir les contacter facilement.

Pour une collecte efficace, différents moyens s’offrent à l’entreprise comme les formulaires, les call-to-actions, les clics-to-call, etc …

3. Le passage du prospect au client

Il s’agit sans doute là de l’étape la plus délicate comme la plus décisive de l’inbound marketing. Le but est de conduire le prospect jusqu’à la réalisation de son achat et d’en faire ainsi un client à part entière de la société.

Pour se faire, on aura recours à différents outils à la fois classiques comme la prise de rendez-vous ou l’appel téléphonique, ainsi que d’autres qui seront d’ordre numérique comme la newsletter ou encore le marketing automation.

4. La fidélisation des clients : Le cheval de bataille de l’inbound marketing

Concrétiser une vente est une étape très importante, mais ce n’est pas la finalité ultime de cette stratégie. Elle consiste en premier lieu à fidéliser le client et à en faire un ambassadeur de l’entreprise.

Ceci passe naturellement par la qualité indispensable des biens et services proposés par l’entreprise.  En parallèle, c’est sa capacité à satisfaire ses clients sur la durée et à gagner leur confiance qui ancrera la fidélisation.

L’inbound marketing : Sur quels outils peut s’appuyer l’entreprise ?

Être son propre média signifie être capable de contribuer à la production, à l’édition, ainsi qu’à la diffusion d’un contenu suffisamment attractif pour attirer les visiteurs en nombre. Cette audience ainsi créée devra être ensuite transformée en prospects et enfin en clients.

La particularité de l’inbound marketing est que cette stratégie vient puiser dans toutes les ressources offertes par le marketing digital, et elle en utilise les principaux outils.

Bien évidemment, le premier d’entre tous est le contenu proprement dit qui peut prendre différentes formes comme un blog, des articles et même des vidéos.

A cela s’ajoutent d’autres outils numériques permettant d’orienter et d’envoyer le prospect directement vers le site de l’entreprise.

Il peut s’agir de newsletter, de liens vers les réseaux sociaux ou encore d’évènements extra-web (offline). L’ensemble de ces outils a pour but de toucher le public le plus large et si possible, à l’extérieur de la zone d’influence habituelle de la société.

Bien entendu, proposer du contenu signifie également disposer d’un site internet de qualité, à l’ergonomie soignée et à la conception pensée dans les moindres détails. Le visiteur qui s’y rend doit pouvoir être facilement identifié, tout en proposant à ce dernier de remplir un formulaire, intégrant son adresse mail ainsi que toutes autres informations utiles.

De même, le site doit contenir différents liens stratégiques, tels que ceux qui conduisent vers les réseaux sociaux ou encore les demandes de devis.

Pour accroître son audience et générer de nouveaux clients qu’il sera possible par la suite de fidéliser, la société qui utilise la stratégie de l’inbound marketing peut également mettre en place différentes campagnes de newsletters, de phoning et autres.

En terme de budget, cette stratégie marketing s’affirme comme un investissement très intéressant pour les entreprises dans la mesure où celle-ci n’est qu’une réorientation des sommes engagées dans le marketing traditionnel (brochures, objets publicitaires, publicités dans la presse, etc …).

En conclusion

Si l’inbound marketing constitue à ce point une réelle opportunité pour les sociétés, c’est parce qu’il permet d’établir un lien fort avec le client à chacune des étapes de l’utilisateur.

Fondée sur un marketing personnalisé à l’extrême et en évitant tout sentiment d’intrusion que pourrait ressentir le prospect, cette stratégie abat les murs dressés entre la société, la marque et ses clients.

Grâce à la production d’un contenu à forte valeur ajoutée et d’un usage pertinent des réseaux sociaux, cette stratégie permet à la société de répondre davantage aux attentes du consommateur qui souhaite mieux connaître les spécificités de la marque et son secteur plutôt que d’être sollicité malgré lui par de la publicité.

Content marketing : comment organiser ses contenus ?2016-12-26T15:42:05+01:00

Isaac Asimov disait que « pour réussir, il ne suffit pas de prévoir, il faut aussi improviser ». Savoir improviser est certes une qualité importante voire indispensable, mais ne pas savoir prévoir est un défaut qui en content marketing ne pardonne pas. Voilà maintenant quelques années que le content marketing s’est peu à peu intégré dans la stratégie des entreprises : la plupart a désormais compris l’intérêt de mettre en place une stratégie digitale qui ne repose pas uniquement sur l’achat d’espace publicitaire. Cette prise de conscience, ne le cachons pas, a davantage été imposée par les AdBlockers qu’adoptée grâce aux discours des marketeurs.

Si le principe du content marketing est désormais globalement acquis, une problématique revient inévitablement dans tout établissement d’une stratégie de contenu : comment positionner mon contenu ? En effet, le content marketing n’est pas une tâche simple effectuée en une fois, bien au contraire. Cela demande un investissement humain conséquent, sur la durée, de l’organisation et un recul nécessaire. Et au vu de l’investissement (faible en coût mais fort en volonté), l’improvisation permanente a toutes les chances de rendre l’effort contreproductif.

Prendre du recul pour organiser son contenu

En effet, on part souvent dans l’aventure du content marketing avec de grandes ambitions, et malgré un coût bien inférieur à la publicité traditionnelle, on est rapidement obligé d’élaguer, simplifier, restreindre sa stratégie. Et l’on finit trop souvent par ouvrir un blog sur le site de l’entreprise traitant de sujets corporate ou de « news » de l’entreprise. A l’inverse, d’autres entreprises prennent tellement à cœur leur démarche de « pull » qu’elles retirent tous les liens entre la marque et le blog. L’angoisse de la page blanche et le manque de recul finissent par biaiser la stratégie de content marketing et la rendre inefficace.

Alors quel contenu produire ? Faut-il être corporate ? Faut-il ne surtout pas l’être ? Quels sujets aborder ? Quels types de contenu créer ?

Le digital offre une liberté de créer un contenu original sans limite, tant dans le fond que dans la forme. Mais un excès de liberté risque de vous enfermer dans un tunnel de production de contenus dont l’objectif s’est perdu en cours de route. Il est donc nécessaire de prévoir et d’organiser sa stratégie pour ne pas se perdre. Et pour ne pas se perdre, rien de mieux qu’une carte. C’est une étape simple, quelques minutes suffisent à placer vos contenus au bon endroit suivant deux axes : un axe vision/expérience et un axe notoriété/vente.

carte-contenu
Placer ses contenus sur une carte permet d’avoir une vision à long terme sur la façon de produire, partager et utiliser ses contenus.

 

Voici à quoi correspondent ces quatre points cardinaux :

Vision : la vision de l’entreprise représente l’orientation stratégique et la pensée globale de l’entreprise. Les contenus seront traités sous le point de vue de l’entreprise : elle met en avant sa philosophie, ses valeurs qui correspondent à son offre.

Expérience : alors que le contenu orienté vision est théorique, le contenu orienté expérience est lui bien plus pragmatique. Le but est de prouver l’expertise de l’entreprise au travers de son expérience terrain.

Notoriété : le contenu de notoriété est un contenu de fond, à valeur ajoutée. Il a un but pédagogique, il doit donner au lecteur un contenu intéressant et pédagogique.

Vente : le contenu de vente sera davantage porté sur la conversion. Il présente le produit, incite à l’achat, est riche en call-to-action.

Le schéma ci-dessus montre un exemple de contenus que peut produire une entreprise (il en existe une infinité d’autres contenus, vidéos, présentations, podcasts audio, infographies, etc.). Par exemple, un témoignage client sur une solution est un contenu orienté vente et expérience, car il vient directement du terrain et il est destiné à vendre une solution. L’e-book en revanche aura un objectif plus pédagogique et sera plus théorique et synthétique.

Ensuite, c’est à l’entreprise de choisir où elle souhaite situer ses contenus. Elle peut en effet décider de donner à un e-book une approche orientée terrain, et le placera plus bas dans la matrice. L’important reste de couvrir au maximum l’étendue de la matrice. En effet, beaucoup d’entreprises restent encore cantonnées au coin vision/vente en haut de cette matrice, ne couvrant ainsi qu’une petite partie de la recherche en contenu du prospect.

Structurer sa propre vision avec le content marketing

Se pencher un instant sur la question du sens du contenu que l’on créé permet de répondre à des besoins différents de l’entreprise grâce au contenu : besoin de prouver son expertise, besoin de visibilité, besoin de présenter son offre… Au-delà de cela, c’est également une façon pour l’entreprise elle-même de structurer sa vision en écrivant des articles de fond et d’analyser ses actions au travers de retours d’expérience. Il n’est en effet pas rare que certains contenus créés par l’entreprise soit diffusés et présentés en interne pour que les collaborateurs soient sur la même longueur d’onde. D’un outil de communication externe, le content marketing peut se transformer en un redoutable outil de communication interne.

Mais situer ses contenus sur la matrice vision/expérience – notoriété/vente ne suffit pas. En effet, en amont de la création de contenus, l’entreprise doit échafauder la liaison entre les différents contenus. L’objectif est de guider le prospect à travers les différents contenus produits par l’entreprise. Ce lien entre contenus est réalisable facilement : un lien dans un article guidant à un autre, un bouton de téléchargement de blogbook dans un article de fond, une invitation à télécharger un livre blanc lors d’un webinaire…

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L’objectif de ce maillage est d’optimiser la consultation de contenus produits par l’entreprise. On a tendance à croire, avec le marketing automation, que tout le contenu proposé au prospect passe par une opération de mailing intensive. En réalité, cette mise sous couveuse doit se faire naturellement, en liant les différents contenus créés. Le voyage du prospect à travers les différents contenus se fait parce qu’il y trouve un intérêt, le « spammer » continuellement n’est pas une façon de le rapprocher de l’entreprise, et risque au contraire de l’importuner.

Une fois cette carte construite et les liens entre les différents contenus établis, le plus dur reste encore à faire : produire le contenu (50% du travail) et le partager (50% du travail). C’est donc une première étape, simple à effectuer, mais essentielle car elle vous permettra de garder le cap dans votre stratégie de contenu. En clair, pour réussir son content marketing, il ne suffit pas d’improviser, il faut aussi prévoir.

La vidéo, le média pour une relation de confiance2016-12-14T15:11:16+01:00

Pendant longtemps, la vidéo marketing a été considérée comme l’apanage des grandes marques et de gros budgets, aujourd’hui ce n’est plus le cas. En effet, les coûts de production ont diminué de manière significative ces dernières années plus besoin d’être un expert en technique pour savoir comment ça fonctionne. Nos terminaux mobiles (iPhone, smartphone, ) font très bien l’affaire. Selon Cisco, 74 % du trafic internet comportera de la vidéo en ligne en 2017. En outre, 51,9 % des professionnels dans le monde mentionnent la vidéo comme le contenu avec le meilleur retour sur investissement (étude eMarketer)

Outre l’image dynamique et tendance qu’elle offre à la marque, la vidéo améliore de façon considérable les conversions et la taille du panier d’achats. En effet, le taux de conversion moyen d’un site web sans vidéo est de 2,9 % seulement contre 4,8 % pour un site utilisant de la vidéo (Source : Aberdeen Group).

Attrayante et moderne, la vidéo apparaît comme le support idéal pour apporter des informations intéressantes etdétaillées sur un produit et gagner la confiance des consommateurs. En réalité, elle a le pouvoir de combiner son, image et dialogue pour apporter des histoires vivantes et créer des liens affectifs véritables entre le spectateur et la marque. Mais, comme tout contenu, elle se doit d’être pertinente, calibrée et attractive pour que l’internaute accepte de la regarder jusqu’au bout.

En effet, quand vous réussissez à faire venir des visiteurs sur votre site, vous n’avez alors que quelques secondes pour capter leur attention avant qu’ils ne perdent tout intérêt. Aussi, identifiez le public que vous souhaitez atteindre et assurez-vous que la vidéo soit pertinente pour lui, qu’elle apporte de la valeur et réponde à un besoin. Il passera plus de temps sur votre site web à interagir avec votre marque. N’essayez pas de tout mettre dans une seule vidéo, choisissez un sujet simple et mesurez en l’impact. Ensuite, optimisez le message en fonction de vos retours. Par exemple, Brightcove estime que « si votre vidéo présente de nombreux abandons dans les 20 premières secondes, cela signifie que vous devez la modifier ou raccourcir sa durée ».

Mobilité et vidéo

La vidéo permet de modifier l’expérience utilisateur et de proposer un contenu différent de ce qu’il a l’habitude de voir. Grâce à la mobilité et les réseaux sociaux, la vidéo touche un public beaucoup plus large. Ces plateformes sociales sont effectivement de véritables lieux digitaux sur lesquels les vidéos sont le plus diffusées et où l’ensemble des cibles et des prospects se trouvent désormais. Excellent moyen de diffuser votre message, ces réseaux sociaux vous aideront à vous faire connaître et démultiplieront la portée du message par le partage de la vidéo. Cette dernière offre aux marques la possibilité de se mélanger avec son audience, de développer une relation plus forte, elle permet de raconter l’histoire de votre marque là où vont les clients.

À la fois divertissante et attractive, la vidéo mobile garantit un taux d’engagement élevé et croissant. D’ailleurs, plus de 65 % des vidéos vues sur Facebook se font sur mobile. Pour cela, la vidéo se doit de s’adapter à tous les appareils mobiles et non mobiles. Selon Internetretailer.com, la vidéo mobile devrait représenter 66 % de l’ensemble du trafic de données mobiles en 2017.

Mais pour qu’une vidéo soit efficace, 4 points me semblent essentiels. Elle doit :

  • Avoir une ligne éditoriale en adéquation avec votre cible : quel style pour quel contenu ?
  • Etre courte pour ne pas lasser l’internaute : entre 1mn30 à 2mn ;
  • Être captivante pour donner envie à l’internaute d’aller plus loin et conduire à la conversion ;
  • Être mémorable pour être efficace et garantir sa viralité.

Car, au travers de la vidéo, c’est la mémorisation de la marque qui est en jeu. La vidéo aide le marketing et les ventes à sortir du lot de manière très distincte, augmente la mémorisation des informations et tente ainsi de gagner l’attention de l’acheteur.

Conclusion

Créer une stratégie marketing de contenu axée sur la vidéo est devenue essentielle. Aujourd’hui, la plupart des annonceurs s’accordent à dire que la programmation numérique vidéo va devenir aussi importante que la télévision dans les 5 années à venir. Une étude réalisée par IAB, indique que sur les 300 marques interrogées, 2/3 d’entre elles envisagent de bouger le budget alloué à la TV vers la vidéo en ligne. Une autre étude réalisée cette fois par Invodo.com révèle que les commerçants exploitant les avantages de la vidéo ont vu leurs ventes augmenter de 40 %. Et pour cause, la vidéo raconte une histoire de façon plus vivante et captivante qu’un texte et des images statiques incitant votre public à passer à l’étape suivante du processus de conversion. En s’appropriant ce média, les professionnels s’assurent une visibilité grandissante et surtout une mémorisation de la marque. Selon Aberdeen Group « le développement de compétences en marketing vidéo aidera la vidéo à passer du statut d’événement spécial à celui d’élément plus régulier du calendrier du marketing de contenu ».

Source: http://www.webmarketing-com.com/

YouTube : Un atout pour votre développement2016-12-14T15:11:16+01:00

YouTube: Marketing vidéo,  extrait de la conférence de Thomas Gasio

Le Marketing Vidéo

 

Développez un marketing prédictif2016-12-14T15:11:16+01:00
agence acp facebook insights

Facebook Insights : le marketing prédictif votre cœur de cible de consommateurs n’aura plus aucun secret pour vous !

 

EN SAVOIR PLUS
Comment fonctionne la publicité sur Snapchat ?2016-12-14T15:11:16+01:00

En octobre 2014 Snapchat a annoncé la première diffusion de contenu publicitaire. Cette première publicité lancée le 17 octobre était publiée dans la rubrique « story récente ». Depuis, les formats proposés aux annonceurs ont évolué de même que les fonctionnalités de l’application. Mais la vidéo reste un des enjeux majeurs dans la guerre des réseaux sociaux. Alors que Facebook comptabilise 8 milliards de vidéos consultées chaque jour, Snapchat en annonce à présent 6 milliards, soit le triple que ce que l’application avait déclaré en mai 2015. Pour mieux servir les annonceurs qui veulent faire de la publicité sur Snapchat, l’application propose désormais une véritable offre de création et de diffusion dans son application : 3V.

3V : Vertical Video Views.

Vertical, car c’est dans ce sens d’utilisation que repose Snapchat. Le réseau social milite d’ailleurs pour une utilisation plus fréquente du mode vertical sur mobile car plus naturel. Ce n’est pas sans éléments à l’appui que le petit fantôme confirme sa volonté. D’après eMarketer d’avril 2015, le temps passé sur un écran vertical est en train de croitre fortement. Il passe de 100 minutes en 2013 à 180 en 2015. Étant considéré comme écran horizontal : TV, ordinateur, consoles, etc. Le seul appareil vertical étant le smartphone. Snapchat déclare enregistrer un taux d’achèvement 9x supérieur sur un contenu vertical.
Video, car l’ensemble des contenus sponsorisés est distribué dans ce format.
Views, car du fait de son format la publicité occupe toute l’attention de l’utilisateur de l’application. Le format vidéo se glisse entre deux contenus de façon très simple. En plus de cela, la vidéo occupe 100% de l’écran.

la publicité sur Snapchat
L’application se fend même d’un comparatif plutôt convaincant de la publicité sur Snapchat avec deux plateformes rivales pour la vidéo : Facebook et YouTube.
Snapchat ne permet pas de cibler précisément les publicités. Les seuls critères sont l’intégration à une Live Story spécifique, à la rubrique Discover Channel, selon le lieu où se trouve le snapchatter, ou encore son sexe. De ce fait une publicité pourrait s’intégrer dans la rubrique « discover » avec canal dédié, sur la Story pour la Saint Valentin, ou celle pour le défilé sur 14 juillet à Paris.
L’analyse des campagnes est effectuée directement par Snapchat. Le réseau social poursuivrait des investissements sur ce point afin d’offrir aux annonceurs un rapport plus poussé.

Les formats existants.

La découverte sponsorisée.
Ç’a été le cas pour la sortie de Spectre, le dernier opus de la saga de 007.

La story sponsorisée.
Il vient se mélanger aux snaps que les utilisateurs ont mis à disposition de leurs contacts en story.
publicité sur Snapchat

L’insertion dans un live.
Selon les événements partagés sur Snapchat, un annonceur peut intégrer une vidéo parmi les snaps défilant.

Le filtre de selfie sponsorisé.
Le format a été révélé par le Financial Times au début du mois d’octobre 2015. Les marques pourraient sponsoriser un filtre de selfie Snapchat pendant une journée. Avec la ferveur autour de la sortie du film Star Wars, on pourrait s’attendre à en voir un apparaitre dans les jours à venir.

Enfin, le réseau social impose à ses annonceurs d’adapter leurs publicités sur Snapchat au format vertical de l’application et même de rendre le contenu agréable. Le petit fantôme se réservant le droit de refuser des contenus qui iraient à l’encontre du respect de l’expérience utilisateur sur son application.

 

Source: VALENTIN BLANCHOT / siecledigital.fr

Le poids de la video dans le-marketing digital2016-12-14T15:11:16+01:00

La vidéo est un média d’avenir pour le marketing digital !

Le développement des nouvelles technologies et la démocratisation des équipements numériques réduit les coûts de production et rend l’outil vidéo accessible à tous ! C’est un vecteur de communication du marketing digital devenu incontournable !

Elle explicite votre activité, suscite la confiance de vos clients, améliore le trafic de votre site et reste très facile à partager sur les réseaux sociaux.

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80 % des internautes se souviennent de la vidéo qu’ils ont regardé sur un site web au cours des 30 derniers jours.

1 internaute sur 4 partage des vidéos sur les réseaux sociaux (source: médiamétrie 2013).

Quand un produit est présenté en vidéo, le taux de conversion ainsi que le panier moyen augmentent d’environ 30%.

Les publicités vidéo ont un taux de clic 20 fois supérieur à un banner standard du marketing digital.

Une page contenant une vidéo a 53 fois plus de chance d’être en première page de Google qu’une simple page texte (Forrester Research 2013).

 

Le Facebook topic data ! Qu’est-ce que c’est ça ?2016-12-14T15:11:16+01:00
Nos préstations éxclusives Facebook Insights

Le Facebook topic data ce sont les informations anonymes et ciblées agrégées sur les activités, des événements, des noms de marqueet d’autres sujets que les gens partagent sur Facebook!

Seules quelques licences ont été attribuées par Facebook Topic data. L’Agence ACP collabore avec une entreprise possédant l’une d’entre elles et peut donc vous proposer des analyses précises sur l’intérêt (sentiment) et l’engagement du consommateur sur votre marque.
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Bénéfices & Impacts Directs

Compréhension des tendances populaires et émergentes -> Anticipation des besoins

Optimisation des « narratifs » et profils clients grâce à une segmentation par région ou par démographie -> Stratégie message et ciblage

Mesure sans précédent du ROI des campagnes et des messages -> Optimisation vecteurs de croissance

Réseaux sociaux : chiffres clés en Suisse en 20152016-12-14T15:11:16+01:00

Dans cette section vous trouverez l’ensemble des statistiques à propos des principaux réseaux sociaux en Suisse. Concernant les chiffres provenant de l’étude réalisée par le journal 20 minutes à propos de la Suisse romande, une enquête a été réalisée en septembre 2014 sur le site web et l’application 20minutes.ch. Il est important de noter que plus de la moitié des personnes ayant répondu avait entre 18 et 34 ans.

1.1 Facebook

Nombre d’utilisateurs Facebook en Suisse en 2015

3.5 millions

Proportion des suisses romands possédant un compte Facebook

88.9% 

Proportion des suisses romands sur Facebook s’y connectant au moins une fois par semaine

96%

1.2 Twitter

Nombre d’utilisateurs Twitter en Suisse en 2015

325’000

Proportion de suisses romands possédant un compte Twitter

37.5%

Proportion de suisses romands sur Twitter s’y connectant au moins une fois par semaine

52.8%

1.3 LinkedIn

Nombre d’utilisateurs LinkedIn en Suisse en 2015

1.6 millions

Proportion de suisses romands possédant un compte LinkedIn chez les 35-44 ans

40.6%

Proportion de suisses romands sur LinkedIn s’y connectant au moins une fois par semaine

48.5%

1.4 Google+

Nombre d’utilisateurs Google+ en Suisse en 2012 (derniers chiffres connus)

326’000

Source: tout le ebook à télécharger

Content Marketing, la nouvelle règle de stratégie du web ?2016-12-14T15:11:16+01:00

On en parle beaucoup sur Twitter et sur les réseaux sociaux : le Content Marketing est partout, on organise même des conférences sur la Stratégie de Content Marketing digitale. On peut observer en effet ces derniers temps une mutation dans la manière de faire du marketing online. Les entreprises, pour augmenter leur trafic et leur chiffre d’affaire sur internet doivent adapter leur stratégie. La raison ? Il est de plus en plus difficile de miser sur le référencement naturel pour obtenir plus de trafic. Les changements d’algorithme de Google étant de plus en plus fréquents (MayDay, Panda, Pengouin dans les énièmes versions), de nombreuses entreprises cessent de se concentrer exclusivement sur le référencement au profit d’une stratégie efficace de Contenu Digital, ou Content Marketing.

La fin des mauvaises pratiques de SEO

Jusqu’à récemment, les experts SEO pouvaient obtenir de bons résultats en misant sur des techniques de SEO sans nécessairement travailler la qualité du contenu. Même si le contenu était de qualité médiocre, les experts SEO qui tentaient de déjouer les moteurs de recherche arrivaient encore à se frayer un chemin dans le monde hyper concurrentiel du SEO. Mots-clés, cloacking, balises Méta sur-optimisées, bourrage de mots-clés dans le texte, abus de liens, échanges massifs de liens… beaucoup d’« experts SEO » ont passé des heures à essayer de contourner le système. C’était sans compter sur la capacité d’adaptation des moteurs de recherche, Google en tête :  Le « monsieur SEO » de Google, Matt Cutts, n’a eu de cesse de rappeler les bonnes pratiques SEO (White Hat) et de dénoncer les mauvaises pratiques SEO (Black Hat). Comme les algorithmes des moteurs de recherche s’adaptent constamment, les stratégies de référencement traditionnelles sont en train de changer.

« Le contenu roi », plus que jamais

Faible qualité des contenus, mauvais articles truffés de mots-clés, contenus trop minces : impossible dans ces conditions d’arriver en tête des résultats de recherche. Aujourd’hui plus que jamais, la règle d’or est celle du contenu de qualité, d’où l’émergence du nouveau terme de Marketing de Contenu, ou Content Marketing, ou plus simplement Rédaction web, à ceci près qu’on ne parle plus seulement de textes rédigés pour le web mais de contenu au sens plus large, en incluant tous les outils d’animation de site web au service du Content Manager et du webmaster : infographies, newsletters, sondages, vidéos…

Content Marketing, Marketing de Contenu : de quoi parle-t-on ?

Qu’est-ce au juste que le marketing de contenu ? Un grand mot pour dire tout simplement que l’on produit du contenu qui a du sens, et non des articles dénués d’intérêt conçus uniquement pour les robots des moteurs de recherche. Le marketing de contenu est donc de la production de contenu (textes, vidéos, images, infographies, …) visant à changer ou à influencer le comportement des internautes. Pour illustrer ce phénomène, on prend souvent en référence la théorie du « Why » de Simon Sinek qui donne tout son sens au mot Content Marketing. Simon Sinek étudie ce qui fait le succès des leaders et tente de formaliser une technique de leadership en prenant des exemples universels : Martin Luther King, les frères Wright ou Steeve Jobs. Nous vous conseillons de visionner cette vidéo de Ted : « Simon Sinek et le concept du Why », ou comment les leaders suscitent l’adhésion. Le lien avec les marques est évident : comment susciter l’adhésion (les fans, followers …) à la marque en véhiculant des messages forts ? Tout l’enjeu du Content Marketing est là.

Les réseaux sociaux en Suisse: statistiques2016-12-14T15:11:16+01:00

Les réseaux sociaux en Suisse, selon les dernières statistiques connues en 2014 citées par le site de la Confédération, on dénombre pas moins de 3.3 millions d’utilisateurs Facebook en septembre 2013 et 500’000 utilisateurs Twitter.

L’excellent site d’analyse des pages sur les réseaux sociaux, Social Bakers, réalise chaque mois un petit tour du propriétaires des principales pages sur les médias sociaux. Le grand avantage est que ces rapports sont réalisés par pays, notamment la Suisse 🙂

1. Taux d’engagement moyen sur Facebook en Suisse

  • 0.28%

Si votre page Facebook est en-dessus de cet indicateur, c’est plutôt un bonne nouvelle !

2. Nombre de publication moyen par réseaux social du Top 20 en Suisse

  • Facebook : 27 publiations/mois
  • Twitter : 98 tweets/mois
  • Youtube : 13 vidéos/mois

réseaux sociaux en suisse

 

Facebook de 2004 à 2015: le réseau le plus populaire2016-12-14T15:11:16+01:00

Facebook est aujourd’hui le réseau social le plus populaire. Fondé en 2004 par Mark Zuckerberg, le site est devenu incontournable au fil des années. L’histoire de Facebook est passionnante : sans doute copié sur le trombinoscope d’Aaron Greenspan, le réseau social dépasse aujourd’hui le milliard d’utilisateurs actifs mensuels. Les statistiques d’utilisation de Facebook sont impressionnantes, quelle que soit la variable étudiée. Nombre de membres, activité sur les mobiles, résultats financiers, photos ajoutées chaque jour sur le service… Voici les derniers chiffres Facebook.

Les dates clés de Facebook

  • 4 février 2004 : date de lancement.
  • Mars 2004 : après l’université de Harvard, Facebook arrive à Stanford, Columbia et Yale.
  • Juin 2004 : Facebook est disponible au sein de 30 campus et atteint les 150’000 membres.
  • Juin 2004 : Peter Thiel (fondateur de PayPal) injecte 500’000 dollars contre 10,2% de la société.
  • 30 décembre 2004 : Facebook accueille 1 million de membres.
  • 26 septembre 2006 : ouverture au public (pour les plus de 13 ans uniquement).
  • 11 août 2009 : Rachat de FriendFeed.
  • 22 décembre 2011 : Facebook déploie sa nouvelle interface, Facebook Timeline.
  • Avril 2012 : rachat d’Instagram, pour 750 millions de dollars.
  • Octobre 2012 : le cap du milliard de membres actifs est atteint.
  • 15 janvier 2013 : Facebook dévoile le Graph Search.
  • 7 mars 2013 : Facebook présente le nouveau fil d’actualités.

Statistiques d’utilisation

  • Utilisateurs actifs mensuels (MAU, juillet 2015) : 1,49 milliard
  • En Europe : 3’011 millions
  • En Amérique du Nord : 213 millions
  • En Asie : 496 millions
  • Dans le reste du monde : 471 millions
    • Utilisateurs actifs mensuels sur mobile : 1,314 milliard.
    • Utilisateurs actifs mensuels uniquement sur mobile : 655 millions.
    • Utilisateurs actifs quotidiens (DAU) : 968 millions
    • Utilisateurs actifs quotidiens en Europe : 228 millions

Résultats financiers

  • Chiffre d’affaires trimestriel (Q2 2015) : 4,042 milliards de dollars
  • Bénéfice (Q2 2015) : 712 millions de dollars
  • Chiffre d’affaires en 2014 : 12,466 milliards de dollars (7,872 milliards en 2013).
  • Bénéfice en 2014 : 2,94 milliards de dollars (2,804 milliards en 2013).

Autres chiffres Facebook

  • Facebook est le réseau social N°1 dans 128 des 137 pays étudiés (fin 2014)
  • Le newsfeed (fil d’actualité), c’est 40% du temps passé sur Facebook
  • 46% des membres se rendent sur Facebook pendant leur shopping
  • 47% pendant qu’ils préparent à manger
  • 48% pendant le sport
  • Statuts partagés chaque seconde : 4’100
  • Likes distribués chaque minute : 1,8 million
  • Likes distribués chaque jour : 4,5 milliards
  • Contenus partagés chaque jour : 4,75 milliards
  • Messages envoyés chaque jour : 10 milliards
  • Données échangées chaque minute : 350 gigaoctets
  • Temps passé sur Facebook : 6h45 par mois en moyenne.
  • Pages fan : 50 millions
  • Pages fan inactives : 70% des pages de marques (moins d’une publication mensuelle)
  • Pages fan likées : 89 par utilisateur en moyenne
  • Connexions entre amis : 150 milliards
  • Photos ajoutées chaque jour : 350 millions
  • Photos présentes sur Facebook : 240 milliards
  • Albums et chansons partagées : 110 millions
  • Au réveil, 48% des 18-34 se connectent sur Facebook
  • Chaque mois, 250 millions de personnes jouent sur Facebook
  • Faux comptes : 76 millions
  • Âge moyen des utilisateurs : 22 ans
  • Musique partagée sur le réseau : 62,6 millions de morceaux joués 22 milliards de fois
  • Nombre d’amis moyen en Suisse : 177
  • Nombre d’amis moyen dans le Monde : 338
  • Pages Facebook les plus populaires en Suisse : Deux des secteurs les plus représentatifs de l’économie suisse, l’horlogerie et l’alimentaire, représentent 60% des pages disposant de plus de fans. A contrario, la banque ne dispose que d’un seul représentant : Crédit Suisse, avec 37’000 fans, arrive en 32è position, loin devant Raiffeisen (90è avec 4’710 fans), Post Finance (101è avec 3’061 fans) ou la BCV (136è avec 533 fans). Il est vrai que la discrétion est de mise dans le secteur bancaire, et qu’il n’est pas forcément de bon goût d’être fan de son banquier privé.
  • Instagram : 130 millions d’utilisateurs et 40 millions de photos publiées chaque jour

 L’usage de Facebook sur mobile

Nous l’avons vu, de nombreux membres accèdent à Facebook sur leur smartphone. Une étude du cabinet de conseil IDC va plus loin et dissèque les différents usages de Facebook sur mobile.

Sans surprise, consulter le newsfeed constitue l’utilisation principale des membres (82%). Suivent la réponse à des statuts (49%) et la mise en ligne de ses propres statuts (38%). Autre chiffre clef, 79% des répondants accèdent à Facebook sur mobile moins de 15 minutes après le réveil (et 54% des personnes interrogées le consultent dès le réveil). Sur mobile, les membres accèdent à Facebook 17,6 fois par jour le weekend ! L’utilisation de Facebook sur mobile est vraiment impressionnant.

 

Les réseaux sociaux en 20152016-12-14T15:11:16+01:00

Il est toujours intéressant de disposer de chiffres en rapport avec les réseaux sociaux. Fréquentation, nombre de membres, utilisateurs actifs, activité sur le site et les applications mobiles… Sur le web, de nombreuses statistiques circulent mais certaines sont obsolètes. Afin d’être sûr de disposer des derniers chiffres, nous mettons régulièrement à jour cette page, rassemblant les principaux chiffres des réseaux sociaux en 2015. Ils sont classés par réseau social et la source des statistiques utilisées est toujours indiquée. Facebook, Twitter et Google+ sont les principaux médias sociaux représentés, mais nous rassemblons également les derniers chiffres disponibles pour d’autres plateformes, comme YouTube, Instagram, Pinterest ou LinkedIn.

 

Réseaux sociaux 2015

 

Les chiffres clés des réseaux sociaux

  • Sur les 3,025 milliards d’internautes à travers le monde, 2,060 milliards sont actifs sur les réseaux sociaux, soit 68% des internautes et 28% de la population mondiale.
  • Temps passé sur les réseaux sociaux : 2 heures par jour dans le monde, 1h30 en France.

Source : We Are Social Singapore

Le top 10 des réseaux sociaux dans le monde – Août  2015

Plus d’infos : Chiffres Facebook / Chiffres Twitter / Chiffres Google

Pénétration des réseaux sociaux dans le monde

  • 56% en Amérique du Nord
  • 44% en Europe de l’Ouest (42% en France)
  • 7% en Afrique
  • 5% en Asie du Sud

Facebook

Les principaux chiffres concernant Facebook sont les suivants :

  • Date de lancement : 4 février 2004 (bêta)
  • Ouverture au public : 26 septembre 2006
  • Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 1,49 milliard (30 millions en France).
  • Utilisateurs actifs mensuels sur mobile : 1,314 milliards (24 millions en France).
  • Utilisateurs actifs quotidiens (DAU) : 968 millions (20 millions en France).
  • Chiffre d’affaires en 2014 : 12,466 milliards de dollars (+58% par rapport à 2013).
  • Bénéfice en 2014 : 2,940 milliards de dollars (+96% par rapport à 2013).

Twitter

Les principaux chiffres concernant Twitter sont les suivants :

  • Date de lancement : 21 mars 2006
  • Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 304 millions (2,3 millions en France).
  • 500 millions de tweets envoyés chaque jour
  • 320 nouveaux comptes créés chaque minute
  • Utilisateur le plus suivi : Justin Bieber, avec plus de 38 millions de followers.
  • Tweet le plus retweeté : plus de 3,3 millions de RT (Elen De Generes)

Google+

Les principaux chiffres concernant Google Plus sont les suivants :

  • Date de lancement : 28 juin 2011 (bêta)
  • Ouverture au public : 20 septembre 2011
  • Membres inscrits : 500 millions
  • Utilisateurs actifs (au sens large) : 540 millions
  • Utilisateurs actifs (au sens strict) : 359 millions
  • Temps passé sur le réseau : 6 minutes et 47 secondes par mois.

YouTube

  • Utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 1 milliard
  • Nombre de vues par jour : 4 milliards, dont 25% via mobile

Tumblr

  • Lancement de Tumblr : 2007
  • Utilisateurs actifs mensuels : 100 millions
  • Nombre de blogs sur la plateforme : 111,7 millions
  • Nombre de publications : 51,7 milliards depuis le lancement
  • Nombre de publications quotidiennes : 75,8 millions
  • Statistiques de visite : 185,6 millions de visiteurs uniques mensuels

Instagram

  • Nombre de membres : 300 millions
  • Nombre d’utilisateurs d’Instagram Direct : 85 millions
  • 70% d’utilisateurs en dehors des États-Unis (65% en mars 2014)
  • 30 milliards de photos partagées (20 milliards en mars 2014)
  • 2,5 milliards de « J’aime » chaque jour (1,6 milliards par jour en mars 2014)
  • 70 millions de photos partagées chaque jour (60 millions en mars 2014)
  • Un utilisateur suit en moyenne 134 personnes
  • 46% des utilisateurs suivent des marques
  • 70% des membres français se connectent à Instagram au moins une fois par jour

Pinterest

  • Nombre de membres : 100 millions
  • 85% des usagers sont des femmes
  • 30% des utilisateurs ont entre 25 et 34 ans
  • Temps passé sur le réseau : 16 minutes par mois

LinkedIn

  • Lancement de LinkedIn : 5 mai 2003
  • Nombre de membres inscrits : 380 millions
  • Nombre de membres en France : 10 millions
  • Nombre de membres actifs mensuels : 97 millions
  • Utilisateurs actifs quotidiens : 35% des membres
  • Localisation : 34% des membres sont situés aux États-Unis
  • Croissance : 2 nouveaux membres rejoignent LinkedIn chaque seconde
  • Temps passé sur le réseau : 17 minutes par mois
  • Démographie : 79% des membres ont plus de 34 ans
  • Âge moyen des membres : 44 ans
  • Nombre de groupes : 1,5 million
  • Mobilité : 27% des visites sont effectuées via mobile
  • Acquisition de Slideshare : 119 millions de dollars
  • Nombre de membres Slideshare : 5 millions

LinkedIn Q2 2015 Earnings Call from LinkedIn

Snapchat

  • Nombre d’utilisateurs actifs mensuels (MAU) : 100 millions
  • Répartition H/F : 35% d’hommes, 65% de femmes
  • Âge : 71% des utilisateurs ont moins de 25 ans
La réussite de votre marketing digital tient-elle uniquement à votre budget ?2016-12-14T15:11:16+01:00

La communication et le marketing digital ont trouvé avec le web un terrain de jeu particulièrement intéressant. L’époque où les retombées d’une opération dépendaient principalement de son budget n’est plus d’actualité ! Certes, cela a encore de l’importance, mais l’ingéniosité et la créativité du marketing digital permettent désormais de compenser parfois des moyens plus modestes. Une bonne connaissance des mécanismes de la viralité aussi, en choisissant les bons canaux et un ton juste pour adresser sa cible. Les exemples de nos campagnes digitales réussies sont nombreuses, nos clients comprenant de mieux en mieux les rouages du web et l’apport de leur collaboration avec leur agence créative, multiplient leurs stratégies.

Pour vous permettre d’avoir des exemples parlants et de vous confronter aux bonnes pratiques, nous mettons en avant régulièrement des campagnes réussies sur notre blog. Nous nous intéressons aussi à tous les acteurs du web et leurs opérations, sur les moyens qu’ils utilisent, les réseaux choisis et les résultats obtenus. Aussi bien du côté agences que du côté annonceurs.

Marketing digital: comment avoir une description compréhensible ?2016-12-14T15:11:16+01:00

Au vu de la complexité des définitions du marketing digital telles que celle de Gartner, nous avons décidé de simplifier le débat afin de le rendre compréhensible et utile à l’action. Quelle importance, avant d’en saisir les subtilités, de comprendre tous les détails les plus infimes de disciplines techniques comme le SEO (Search Engine Optimisation), si l’on ne saisit pas les grands enjeux du contenu de marque et de son importance dans la chaîne de valeur digitale qui va jusqu’à la génération de leads (ou génération de contacts) ?

Voici un descriptif plus formel, mais compréhensible, du marketing digital afin d’en délimiter – quitte à simplifier à l’extrême – les frontières. Ce descriptif, une fois combiné aux explications plus qualitatives et culturelles indiquées ci-dessus, donne une idée plus précise de la portée de cette révolution du marketing digital.

schéma simplifié pour définir le marketing digital

Tentative de définition du marketing digital (volontairement non-exhaustive)

Nous avons découpé artificiellement le domaine digital en 3 parties, ce qui permet de mieux saisir les enjeux de domaines en en réduisant la complexité :

  1. le premier domaine est celui des plate-formes ;
  2. le deuxième est celui des modes de communication ;
  3. le troisième domaine est celui de la mesure.
Comment définir le marketing digital ?2016-12-14T15:11:16+01:00

Les définitions du marketing digital sont nombreuses et parfois complexes (comme dans cet exemple fourni par la société d’analyse Gartner) et il faut s’en méfier également car les frontières, dans ce monde digital, bougent tout le temps.

Il est possible de définir la communication digitale en soulignant que le digital :

  • c’est une affaire de culture … et de transformation des organisations ;
  • c’est un sujet dont on parle car les agences de communication s’en sont emparées, ce qui le rend visible (sans pour autant le limiter à une action publicitaire) ;
  • c’est également une affaire de technologie informatique et de dématérialisation, ce notamment dans le domaine des paiements ;
  • c’est le 5ème P du marketing mix qui ajoute la dimension “personne”, en particulier au travers des médias sociaux ;
  • c’est aussi une affaire de prix … car les modèles économiques du digital ont apporté une dimension en rupture avec les règles que les marchés traditionnels connaissaient, comme dans le cadre du cloud computing par exemple ;
  • c’est différent (car le digital a ses règles), et qu’en même temps, c’est la même chose ! Le consommateur ne fait plus la différence entre monde réel et monde virtuel et les marques doivent être présentes sur tous les canaux … y-compris sur Facebook ;
  • c’est la connexion de tous les terminaux, en tout temps et en tous lieux, le ubiquitous computing ;
  • c’est la fin du travail qui devient une survivance du passé (du moins dans cette forme et sous la forme du salariat) et les inventions digitales du futur ne seront pas uniquement consuméristes.
Quelle est la différence entre le marketing digital et la communication digitale?2018-04-03T15:32:38+01:00

Les frontières entre communication digitale et marketing digital sont assez floues car si on peut dire que la communication est englobée par le marketing, l’évolution de la communication digitale de ces dernières années, sous l’impulsion des médias sociaux notamment, a fait que communication et marketing sont de plus en plus mêlés. Les e-commerçants par exemple, recourent assez couramment aux blogs et aux médias sociaux ainsi qu’au marketing de réseau : Facebook, Twitter et les forums servent de pivot aux entreprises de services, dans les telecoms depuis longtemps, et plus récemment dans la banque. Ces frontières-là se diluent.

Qui sont les utilisateurs des réseaux sociaux en 2014 ?2016-12-14T15:11:16+01:00

Ce tableau résume à lui seul l’étude par Pew en septembre 2014, on y retrouve le pourcentage d’internautes utilisant chaque réseau social, le pourcentage d’internautes hommes et femmes sur chaque réseau ainsi que le pourcentage d’internautes de certaines tranches d’âge qui sont présents sur les différents réseaux sociaux.

Quels sont les 5 leviers du marketing digital ?2016-12-14T15:11:17+01:00

Le marketing digital est constitué de 5 mondes distincts et interconnectés

1. Le contenu : blog – Site corporatif 

2. Le contact direct : Emailing – Newsletter

3. Le e-commerce : Offres ciblées

4. Campagne digitale payante : SEM – Retargeting – Affiliation – Display

5. Flux RSS : Facebook – Instagram – Twitter – Youtube

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Ces 5 leviers se répartissent différemment lors du parcours client

La phase d’écoute des besoins clients est assurée, en particulier, par l’écoute des Réseaux Sociaux grâce à des outils multiples. Citons par exemple des outils tel que Faveeo qui permet de détecter les influenceurs. Cet outil proposé l’Agence ACP est vraisemblablement le plus efficace sur le marché.

La communication autour de la marque se fait principalement par de l’achat et le ciblage de campagne digitale. On observe aujourd’hui que ces formats sont en forte hausse, notamment sur la vidéo et le mobile.

L’acquisition du client se fait via des méthodes qui sont plus proches de l’acte d’achat, qualifiées de ‘last click’. Les mots-clés achetés lors d’une requête spécifique, les comparateurs (particulièrement utilisés dans l’assurance ou le voyage), le re-ciblage par mails ou par bannières sont les méthodes les plus utilisées.

Enfin, la fidélisation du client se travaille aujourd’hui principalement grâce à l’e-mailing. Certaines newsletters sont très appréciées et les taux d’ouverture sont souvent supérieurs à 40%. L’utilisation des réseaux sociaux pour traiter les problèmes de SAV est par exemple une initiative de tous les acteurs de la grande distribution. Par ce biais, adhérer à une page de marque prends du sens et se privilégie.

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